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Quatre jours d’un programme de visite soutenu de la capitale ont permis aux membres du comité Alpilles-Durance de consolider les liens qui les unissent et de se plonger le temps d’une journée dans l’atmosphère très particulière du pôle judiciaire de la gendarmerie.
Un programme dense attendait les 21 participants à cette escapade, qui a débuté le dimanche 7 octobre par une pièce de boulevard au théâtre des nouveautés, « La raison D’Aimé », avec Gérard JUGNOT et Isabelle MERGAULT, un bon moment pétillant à souhait. Le voyage s’est poursuivi le lundi avec plusieurs visites guidées très intéressantes, les Galeries LAFAYETTE, l’Opéra GARNIER, la Fondation VUITTON avec ses deux expositions (Jean-Michel BASQUIAT et Egon SCHIELE). Le mardi le Palais du Luxembourg, où le groupe qui était accueilli par la sénatrice Anne-Marie BERTRAND a pu assister à une séance sur les questions d’actualité.
Enfin le mercredi, dernier jour du voyage, ce fut à Pontoise dans les Hauts-de-Seine qu’eut lieu la visite du Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale. Une visite pleine de découvertes, au cours de laquelle le lieutenant-colonel CHILLARD nous commenta les rôles des différents intervenants et nous présenta les différents services du Pôle judiciaire. Nous pûmes découvrir à cette occasion, la conservation des fichiers d’ADN, la lutte contre la cybercriminalité, l’observatoire des transports connectés (voitures sans chauffeur), l’identification de criminels ou de victimes. Puis, le commandant DEVEMY nous expliqua comment identifier des véhicules volés et maquillés. Après un repas pris au mess en compagnie du lieutenant-colonel Frédéric REHAULT, ancien commandant de la compagnie de Salon-de-Provence, la visite se poursuivit par une conférence sur l’Unité d’identification et d’investigation criminelle, par l’adjudant GOUET. Le lieutenant-colonel CHILLARD clôtura la journée en nous parlant de la salle des autopsies qui remplit trois fonctions, répondre aux besoins techniques liés aux enquêtes, à la sollicitation des magistrats dans le cadre des enquêtes judiciaires et participer en tant qu’outil pédagogique à la formation des médecins.