Notre ami Daniel Leimbacher, vice-président du comité de Draguignan-Brignoles-Gassin, nous a quittés
Dimanche 30 juin 2019, le général de division (2eS) Daniel LEIMBACHER, figure des forces aériennes de la gendarmerie et vice-président du comité de Draguignan-Brignoles-Gassin des Amis de la Gendarmerie est décédé brutalement.
À l’annonce brutale de sa mort, les témoignages de ses camarades se succèdent « Je l’ai vu il y a quelques jours, toujours le même, toujours souriant, une joie de vivre communicative et une humeur sans cesse égale », « Il était fier d’être en uniforme qu’il portait avec élégance pour accomplir une mission confiée par le Directeur général », « Il était plein de vie, plein de projets », « Il était toujours présent pour nous aider, combien de fois il nous a fait gagner du temps, il était pragmatique et efficace », « Il a tellement fait pour les hélicoptères de la Gendarmerie », « Quel chic camarade », « La perte d’un beau représentant de la Gendarmerie ».
En effet, son esprit créatif, libre et inventif, son audace et son professionnalisme ont donné à la gendarmerie sa dimension aérienne opérationnelle que nous connaissons aujourd'hui, moderne, efficiente, disponible en métropole et en outremer. Sa joie de vivre, son commandement profondément humain ont marqué chacun des membres des Forces aériennes, pilotes, mécaniciens, agents militaires et civils de soutien. Le directeur général de la gendarmerie nationale, en son nom et en celui de la gendarmerie, s’est aussitôt associé à tous les personnels touchés par cette terrible nouvelle. Ses pensées sont tournées vers sa famille.
Daniel était un fidèle membre des Amis de la Gendarmerie, y compris quand il était en activité. Lors de son passage en 2e section, en s’installant à Saint-Raphaël, il a accepté de devenir vice-président du comité de Draguignan-Brignoles-Gassin, relayant l’action de son président de comité, le général (2eS Martin BRUSSEAUX, sur la compagnie de Gassin-Saint-Tropez. C’était un cadre et un ami, son départ nous attriste, nous le regrettons et nous le pleurons.